Relecture : Une étape incontournable

La relecture : étape incontournable

💡 Le saviez-vous ?

Tout service de traduction conforme à la norme NF EN-15038 doit inclure, au minimum, une traduction et une relecture.

Il existe plusieurs types de relectures : la relecture simple ou la relecture correction, encore appelée révision.

Chez Azur Traduction, qu’il s’agisse d’une relecture simple ou d’une révision, cette étape de « contrôle qualité » est incontournable et elle permet de livrer au client un travail de qualité.

Elle se déroule en deux étapes : la révision du traducteur qui livre sa traduction puis le contrôle du chef de projet (pour les langues rares) ou la révision d’un deuxième traducteur.

Nous sommes aussi en mesure de procéder à des révisions de documents que nous n’aurions pas traduits nous-mêmes ou à des relectures de textes écrits en langue étrangère par une personne dont ce n’est pas la langue maternelle.

Relecture vs révision : quelles différences ?

La Relecture

La relecture simple ne tient pas compte du texte source.

Le relecteur vérifie la fluidité du texte ainsi que la formulation, la syntaxe, la typographie, l’orthographe, la conjugaison, la grammaire… et apporte les corrections nécessaires. Dans des cas assez rares, cela peut conduire à une réécriture totale si le texte est mal écrit ou mal formulé.

La Révision

Une révision est une relecture attentive et détaillée, en comparant le texte cible/de départ avec le texte source/d’arrivée.

Le relecteur devra notamment repérer les faux sens ou glissements de sens & les contre sens, s’assurer de la cohérence et de la qualité de la traduction, de sa mise en forme qui doit être identique au texte source mais aussi de tous les aspects de la relecture susmentionnée.

NB : en tant que traducteur, le travail concerne des révisions dans 90 % des cas.

Les atouts d’une relecture

Outre ces aspects techniques, la relecture ou la révision, opérées par un deuxième relecteur ou traducteur, sont aussi l’occasion de porter un œil neuf sur une traduction, de prendre du recul, de se détacher du texte initial pour se concentrer sur la langue elle-même.

Zoom sur l’étape idiomatique

Dans le cadre d’une relecture ou d’une révision, au-delà du jargon technique, on demande au relecteur de vérifier la formulation idiomatique du texte, c’est-à-dire de s’assurer que le texte inclut des formulations et expressions spécifiques à la langue finale, et pas uniquement des traductions mot à mot.

Prenons le cas d’un médecin français qui écrit un article pour une revue scientifique en anglais.

Même si ce dernier maîtrise bien l’anglais (et parfaitement le vocabulaire médical, son jargon quotidien), il ne le maitrisera pas comme sa langue maternelle, à moins d’être parfaitement bilingue. Il peut également y avoir des coquilles de typographie et des fautes d’orthographe, de grammaire, de conjugaison, de syntaxe, dans la mesure où il s’exprime dans une langue étrangère. De plus, il ne formulera pas forcément ses phrases de manière idiomatique. Le rôle du relecteur, dont c’est la langue maternelle, est de reprendre ces éléments afin d’améliorer la qualité du texte final.

Quels documents ? Quelles langues ?

Chez Azur Traduction, nous sommes en mesure de proposer la relecture de traduction de documents extrêmement variés (mémoire, documents administratifs, manuscrits, articles…), toutes langues confondues. En effet, notre réseau de collaborateurs, situés un peu partout dans le monde, nous permet d’effectuer des relectures dans l’ensemble des langues européennes (français, anglais, allemand, espagnol, grec, italien, portugais, suédois…) mais aussi des langues plus « exotiques » (arabe, chinois, japonais, russe…).

Relecture et révision, quel tarif chez Azur Traduction ?

Concrètement, plusieurs éléments permettent d’affiner le prix d’une relecture ou d’une révision.

✅ La distinction entre relecture et révision.

Vous l’aurez compris,  une révision est plus coûteuse parce qu’elle nécessite plus de travail.

✅ Le traducteur initial

Tout dépend du traducteur initial. Explication au travers de deux cas extrêmes :

  • C’est un traducteur professionnel rompu aux usages du travail de traduction et dont la langue maternelle est la langue cible : le travail de révision sera plus aisé
  • C’est un ami plein de bonne volonté qui parle très bien la langue cible, sans que cela soit sa langue maternelle : la révision prendra automatiquement plus de temps (pour les raisons détaillées précédemment) et il parfois préférable de repartir de zéro car une révision avec beaucoup de modifications peut nécessiter plus de temps et coûter plus cher qu’une traduction.

✅ Le cas de la révision seule

Azur Traduction est en mesure de programmer la seule révision de documents non traduits par nos soins, à la demande du client. Pour des langues rares, ceci induit évidemment un coût supérieur.

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